Chez les monastiques de Jérusalem la liturgie et la musique étaient encore plus belles qu'à St Nicolas du Chardonnet. Et j'étais assis auprès d'une femme ou demoiselle - j'aurais voulu savoir quel était le cas. Blonde, petite, en vêtements bleus, avec quelque chose rassemblant à une bague sur la droite, je ne savais vraiment pas si c'était une alliance entre fiancés ou autre chose. Quand même j'ai mis mes pieds dehors après avoir entendu le début de la prêche ce jour de Ste Thérèse d'Avila.
"La certitude que Dieu nous donne ..." serait pas du même ordre que celui qui aurait "inspiré d'actes d'intolérence voire même fanatisme". QUÉ PASAAAAAAA!!!! Les actes fanatiques seraient inspirés par la certitude religieuse chrétienne?
Non, ce n'avait pas été un doute qui aurait sauvé les innocents massacrés à Jérusalem les premiers jours après la prise de la ville par la première croisade. Ça aurait plutôt été une certitude plus forte que Dieu rémunère les souffrances subis par les croisés. Car le massacre là était une vendette, un acte de frustration profonde, ils avaient subi des épreuves terribles - traversé du désert en armure fait pour Europe y compte par exemple. Et il y en a quand même - les imbéciles de la loge ou de Miviludes par exemple - qui imaginent sauver le monde ou le pays ou la ville par le fait d'imposer aux croyants chrétiens comme aux "croyants" des faux religions des doutes intellectuels et des frustrations sur le chemin considéré comme vertueux, qu'il le soit ou pas.
Chez moi, quitter un sermon est un geste assez fort. Une fois ou deux j'ai quitté la messe à St Nicolas du Chardonnet par un sentiment de ne pas du tout être uni dans la charité aux autres paroissiens. mais pas pendant le sermon. Ou, possiblement pendant un seul sermon, celui où un vieux prêtre - mais pas le doyen, ni le curé - avait dit que les fruits de l'Esprit Saint ne soient pas des fruits qui poussent juste comme sur un arbre, qu'ils auraient besoin d'être cultivés par efforts humains. Accueillis, préparés, et c, oui, mais ça c'est autre chose, ça c'est ne pas attrister l'Esprit. Il y en a un qui peut cultiver la joie, il ne dépend nullement de nos efforts. Mais quand même, il n'ont pas dit des conneries tellement ouverts que ça, comme ce soir ci!
La certitude que Dieu donne resterait "soumise à l'erreur" ... s'il avait dit "parfois mélangée de l'erreur" il aurait dit vrai, mais il avait dit "soumise à l'erreur". Irrecevable. Une erreur intellectuelle peut en effet co-exister avec la certitude donné par Dieu, mais celui ou celle qui reçoit la certitude de Dieu ne sera aucunement vaincu ou dominé par ou soumis à l'erreur, ni en tant qu'individu, ni en tant qu'Église.
J'étais venu à une paroisse "normale" par le fait d'avoir accepté que le rite de Messe de Paul VI est valide. Moins d'une semaine après, je me trouve avec un rappel très fort que la diocèse de Paris a d'autres problèmes que ce qu'on avait pu douter sur la validité et sur la justesse et justice dans l'application de ce rite.
Hans-Georg Lundahl
dans un cyber
Ste Thérèse d'Avila
née au ciel la nuit vers le
15/5 octobre - limite pour le nouveau
calendrier de son temps - 1582 ou 1583
"Dieu est glorifié dans ses anges et dans ses saints."
samedi 16 octobre 2010
Même pas pour la beauté la plus parfaite sur terre on n'est pas obligé d'entendre des mensonges sans réagir
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