vendredi 25 mai 2012

Et Si le psy était le trop?

J'avais lu, ce matin et sur papier, l'article:

« Maureen est partie en cours et n’est pas revenue… »
ANNE-MARIE DALLELUCHE dont la fille de 15 ans a fugué il y a unmois
par:
LOUISE COLCOMBET | Publié le 25.05.2012, 07h00
www.leparisien.fr/espace-premium/actu/maureen-est-partie-en-cours-et-n-est-pas-revenue-25-05-2012-2015714.php


Je regarde deux citations de mes notes de ce matin. D'abord:

Après la première fugue, Anne-Marie Dalleluche avait d'ailleurs privé Maureen d'Internet et de portable pendant plusieurs mois.

"J'avais changé d'horaires de travail pour ne pas la laisser seule et on avait beaucoup parlé. Elle s'éttait excusée, elle allait chez un psychologue, et je pensais qu'elle avait pris conscience de la gravité des choses."


Je suis un peu époustouflé. Après une fugue si on retourne, on veut normalement resumer la vie normale d'avant ou la vie avant quand elle était encore si normale qu'on ne rêvait pas de fugue. Et non seulement la jeune demoiselle est privée d'Internet et de portable - comme si tous ses amis étaient mauvais, comme si ses choix de fréquentations étaient à priori suspects, ou autrement encore comme si communication virtuelle n'était pas une communication normale, ce qu'elle est devenue. Elle est aussi envoyée chez un psychologue!

En plus, le commentaire:

"...je pensais qu'elle avait pris conscience de la gravité des choses."


Bon, prendre conscience - habituellement et pendant des mois - de la "gravité des choses" et abandonner toute légèreté d'esprit, est-ce vraiment ce qu'on souhaite pour soi-même? Sinon, pourquoi l'imposer à sa progéniture jeune adulte?

Après, Madame la Mère se pose la question:

"Pourquoi fait-elle ça? [...] Elle doit avoir en elle un mal-être dont elle n'a jamais parlé ... Je voudrais pouvoir l'aider."


J'aurais aussi eu un mal-être avec ma mère si elle avait utilisé des méthodes comme ça et moi non plus je n'aurais pas pu lui parler de ça, si elle avait elle-même ainsi causé mes misères! Ce sont les gens qui m'ont séparé de ma mère avec qui je n'ai pas pu me confier.*

Qu'on se rende bien compte, que si les psys étaient plutôt sympas envers les jeunes il y a quelques décades d'années, aujourd'hui c'est peut-être plutôt avec les ainés qu'ils sont sympa. Trop jeunistes juste avant 1968, trop paternalistes 40 ans plus tard?

Si la mère veut aider sa fille, je lui conseille de promettre demain dans Le Parisien:
  • pas d'avortement si elle est enceinte
  • pas de psychologue
  • pas de rupture de communication globale comme interdit d'internet (se réserver le droit d'interdire certaines fréquentations est autre chose)


Après ça, si la fille ne revient pas vite, vaut mieux prioriter l'hypothèse d'enlèvement et essayer de la libérer!

Hans-Georg Lundahl
BU-UPJV, Beauvais
25 - V - 2012

*On a peut-être pris mes tentatives de faire apologétique - un peu moins habilement à l'époque que maintenant - ou mes désirs d'avoir critiques sur mes historiettes et mes essais pour des confiances: alors on s'est trompés! Voir mon essai sur l'école logée SSHL:

SSHL, je déconseille
hglundahlsblog.blogspot.fr/2010/08/sshl-je-deconseille.html

mardi 22 mai 2012

Et la politique, alors?

D'abord je ne suis pas politicien.

Ensuite, entre ceux qu'il y a en France aujourd'hui, j'aurais mal à choisir, sauf en éliminant. À peu près (c'est Gollnisch et de Boer qui passent).

Je ne suis pas socialiste, ni libéralo-capitaliste. Plutôt alors facho - c'est à dire fasciste. Mais encore plus précisemment: monarcho. C'est à dire que j'apprécie le pouvoir royal ou impérial autant que le symbolisme, que je ne veux donc pas voir rester dépourvu du pouvoir.

Là je rejoins parmi les Inklings plutôt J R R Tolkien que C S Lewis.

Mais il y a des monarchies et il y a des monarchies, il y a des fascismes et il y a des fascismes. Avant les Guerres du XX S. on resumait le contraste entre Potzdam et Hofburg dans les dictons:

  • "Die Lage ist Ernst aber nicht Hoffnungslos," pour Potzdamm.
  • "Die Lage is Hoffnungslos, aber nicht Ernst," pour Hofburg.


Les deux refusent d'abandonner l'espoir: mais Berlin le cherche dans la situation, Vienne dans le détachement de la situation. Oh, la position en elle-même est sans espoir - c'est juste qu'elle n'est pas une chose sérieuse. La position change tout le temps, s'y accrocher est se submerger. C'est dans la Ciel qu'on a l'Espérance, et la Croix ressemble à un Ancre.

Que la barque de St Pierre - l'Église Catholique, dont le Saint-Empire Romain de Nation Germanique est un ridicule simulacre de bras séculier - que la barque de St Pierre FLUCTUAT. NEC MERGITUR, pourtant.

Ainsi il y a des fascismes et des fascismes: celui de Berlin et celui de Vienne portant leurs échos des monarchies qui ont inspiré leurs deux grandes figures. Car si Hitler et Dollfuß sont les deux nés en Autriche, Adolf admire plutôt Potzdamm, et c'est Engelbert qui demeure fidèle à l'espoir qui n'en est pas, qui n'est que l'Espérance qui tourne le dos au monde pour regarder ce qui est audessus.

Le fondateur de Chryssi Avghi vient de qualifier Hitler de grande personnalité. J'aimerais lire ce qu'il dit d'Engelbert Dollfuß.

Mais derrière les deux politiques, il y a deux cosomologies. Pour un Catholique, ce qui n'est pas directement causé par Dieu l'est indirectement ou au moins permis à ces causes sécondaires-quasi-priamires que sont les libres arbitres: et la distance entre Dieu et un effet indirecte n'est que n intermédiaires, n étant un nombre variable et fini. En plus, chaque effet indirecte de la volonté divine est aussi en quelque façon un effet directe

Pour l'évolutionniste il n'y a pas ce fonds derrière et audessus des étoiles: la réussite est ici-bas et l'évolution est passée, dit-on, tout comme le progrès récent, par des si-dites "cruautés nécessaires".

Merci à maman d'avoir choisi Vienne comme lieu de ma naissance!

Hans-Georg Lundahl
Beauvais, le 21 mai 2012

Les Deux Grands Citoyen Capet
.by Hans-Georg Lundahl on Tuesday, May 15, 2012 at 5:05pm

On sait que Louis XVI sur l'échafaud a porté la désignation imposée "citoyen Capet" - c'est un peu pour lui ce que le titulus Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum est pour Notre Seigneur. Je qualifie "un peu" puisque Ponce Pilate était autorité romaine et légitime, tandis que les tueurs de Louis XVI étaient usurpeurs. Et puisque je suis Chrétien je crois que Rex Iudaeorum était très exacte, à la foi doctrinalement et liturgiquement. Il n'y a pas d'autre Messie Cacher que Lui.

D'où l'enquête qui pourrait sembler farfelue pour certains: à savoir si par quelque chance la vérité reluit aussi du tître Le Citoyen Capet. Je crois que oui: c'est un tître qui lui convient par exemple mieux que Le Despote Bourbon. Car il était moins despotique que les régimes:

  • Richelieu
  • Mazarin
  • Louis XIV lui-même
  • La Régence (une époque qui finit avec la peste, mais avec des moyens fort totalitaires en 1720)
  • Louis XV (qui bannit les Jésuistes).


Car Louis XVI finit avec la Bastille, avec les Lettres de Cachet d'une manière de contraster très bien d'avec Richelieu qui gerait les affaires de Louis XIII - le deuxième Bourbon - et qui les ont commencées.

Louis XVI était donc un "premier citoyen" dans le sens que Robespierre posait seulement comme tel. Et le Roi était en ça plus proche du Capet St Louis IX. La mocquerie essayait d'être populaire, et ne pouvait pas l'être sans avoir un brin de vérité.

St Louis avait horreur de l'inégalité de la sécurité des droits (est-ce comme ça qu'on traduit Rechtssicherheit de l'Allemand?) quoique pas des inégaliés quand au contenu des droits de quelqu'un, quand aux droits acquis ou hérités.

Michel Pastoureau vient en Lire de signer un bon article sur "le Moyen Age" et surtout "le Moyen Age central" - les XI, XII, XIII S.: attention germanistes, en Allemand c'est Hochmittelalter, tandis que haut Moyen Age est Frühmittelalter! - où il note que la paix, la sécurité des catastrophes, l'expectance de vie étaient toutes meilleurs sous St louis que pendant le Grand Siècle.

Il note aussi que certaines valeurs du Siècle de St Louis sont toujours d'obligation sur le papier, dans le discours officiel, qui étaient à cette époque là vraiement aussi pratiquées. Il exemplifie avec l'horreur dmensonge. Celui qui a lu certains contes de Mil et Une Nuits (la couche de Caire, surtout) sait très bien que ce n'était pas le cas avec les pragmatistes à l'autre rive de la Méditerrannée.

Celui qui hier a entendu une policière municipale affirmer que la mendicité peut être totalement interdite sur tout le territoire pour tout le temps dans une commune française - même depuis les années '90 - sait que soit elle ne voulait pas dire la vérité elle-même mais intimider, soit elle ne savait pas la vérité puisque quelqu'un d'autre avait menti ou refusé de transmettre la vérité d'abord: de toute façon la vérité n'est pas tellement cultivée à notre époque qu'à cette époque là. Une autre fois, en Dordogne en 2005, des policiers municipaux m'avaient pris pour un interrogatoire. Il m'avaient dit que "mendicité agressive" donne 3 mois de prison et "raccolage passif" juste 2 mois. Je ne savais pas suffisemment de français pour savoir que "raccolage passif" se dit sur la prostitution. Et je ne savais pas que les policiers mentaient.

La policière a précisé que les maires peuvent durcir la loi. Soit, ils peuvent interdire la mendicité même non agressive sur une partie du territoire pour une partie du temps. Ceux qui le veulent faire tout le temps pour tout le territoire sont en infraction de la loi, comme s'ils avaient par exemple voulu hausser les impôts municipales à 100% du revenu - tout le monde comprend qu'un maire ne peut pas faire ça. Et depuis 1995 ou 1993 ceux qui veulent totalement interdire la mendicité sur tout le territoire pour tout le temps sont aussi en infraction de la loi.

Dans le Moyen Age un maire ou un seigneur féodal qui essayait de faire quelque chose comme ça aurait pu dire "le roi est loin". St Louis était un roi qui essayait de ne pas être loin. Depuis on a davantage de moyens pour imposer un standard sur tout le territoire, mais le standard en général a baissé sa qualité morale. Ce que finissait la dernière épidémie de peste en France, en 1720 fut une quarantaine imposée par feu de soldatesque sur quiconque essayait de franchir la barrière. Sous St Louis l'église excommuniait encore quiconque tuait à distance, par arbalête ou arc.

Sous St Louis aussi il y avait des grands théologiens comme l'évêque Tempier ou St Thomas d'Aquin.

Je viens d'ouvrir le livre de Jacques Arnould, Dieu vs Darwin, dans lequel il classe les créationnistes contemporains en divers classes: rejectionnistes, creation science - sousensemble young earth creationism, creation science - sousensemble old earth creationism. Étienne Tempier aurait sans doute été un rejectionniste personnellement et il aurait comme évêque condamné des thèses des Old Earth Creationists, mais sans bloquer totalement les démarches des creation science Young Earth Creationism. St Albert et St Thomas auraient été Young Earth Creationist mais aussi fermément Creation Science, et pas Rejectionnistes. Didier de Dacie (c'était bien Didier, non? - je n'ai pas le livre de D; Piché devant moi) aurait été Old Earth Creationist. Et les Averroïstes auraient été Darwinistes. Eux aussi auraient eu des thèses condamnés par l'évêque Étienne Tempier.

Ils avaient aussi une théorie de l'état, ces gens là, qui n'était pas totalitaire.

La légitimité repose tout d'abord sur la loi de Dieu - naturelle ou revelée. Ensuite il y a la loi humaine non contestée qui forme une colonté générale. Les autres parties de la volonté générale, tant qu'elles ne sont pas contraires à la loi de Dieu, sont une source de légitimité. Et après vient l'oeuvre de faire législation ou justice positive: puisque le sujet de la volonté générale, là où elle est vraiement générale (par exemple d'avoir accès aux sapins de Noël et à vin chaud avant Noël aujourd'hui, car ça c'est vraiement généralement voulu et aussi en concordance avec la loi de Dieu tant naturelle que loi positive de son Église), est la totalité ou quasitotalité du peuple, cette application a besoin d'une volonté plus particulière qui représente en quelque façon la volonté générale: soit la représentation est un homme, qui représente un peuple puisqu'il est un et donc apte à fournir l'unité qui manque au peuple dans la question (par exemple licéité ou non de mendicité non agressive), soit la représentation est l'ensemble des gens très impliqués dans les affaires du peuple, les notables, parce que leur negoce est celui du peuple, soit la représentation est la majorité réelle et physique des habitants citoyens, puisque ils sont moins loin que les minorités en chaque question d'être le peuple entier. Un équilibre entre les trois systèmes est recommendé.

Le servage ou la servitude ou les deux existait encore au temps de St Louis: il était en train de s'abolir lentement. Aujourd'hui il n'est pas là, légalement, mais il menace de se retablir sournoisement, par exemple par les interdits de mendicité non agressive.

Hans-Georg Lundahl
BU-UPJV, Beauvais
15-V-2012

[voir aussi:]deretour: Qui Créa Paris? Dieu Ou L'Homme?
hglundahlsblog.blogspot.fr/2011/01/qcpdolh.html


Et aujourd'hui, si on déteste le mensonge tellement qu'on ne veut pas le détecter sauf quand c'est inévitable, alors on passe pour infantil!

Si ce n'était pas Hollande, mais moi ...
.par Hans-Georg Lundahl, mercredi 9 mai 2012, 16:52

On a répondu a certaines questions posés par Attali à travers l'Express (dont le correspondent en Hongrie est un compatriote de moi!). Avant de lire [avant que je lise moi-même, vous faites comme vous voulez] les réponses du président gagnant, voici les miennes:

  • 1.Où trouver en trois ans au plus les 90 milliards nécessaires pour maîtriser la dette publique et retrouver une autonomie de décision?
    - Si on se débarasse de dissuasion nucléaire immorale, de contraception et d'avortements, de l'école obligatoire et donc des élèves qui n'auraient pas voulu faire l'école, des universitaires en formations qui auraient pu être mieux gérés et payés par les entreprises (avec donc une obligation pour les entreprises de faire réellement formations en apprentissages pour les écoliers et formations en stages pour les agés comme à la faculté), sauf évidemment pour la partie théorique linguistique, et si ça ne restaure pas toute la liberté de décision, aussi dans l'exemple de Viktor Orban, la politique prime sur le bancaire, qu'il soit local, régional, national ou international, par exemple européen ou mondiale.
  • 2.Faudra-t-il, et dans quelles circonstances, former un gouvernement d'union nationale?
    - Référendum pour ou contre union nationale permanente, en forme dynastique, et le oui se sousdivise en trois candidats: Bourbon-Dampierre, Bourbon-Orléans, Bonaparte (qu'on peut épeler Buonaparte en Corse). Les quatres alternatives (le non et les trois dynasties proposées) sont donc à traiter comme quatre candidats à une présidentielle, il y aura un deuxième tour.
  • 3.Faut-il mettre en chantier une nouvelle génération de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins pour remplacer les actuels, bientôt obsolètes, ou renoncer à cette composante de la dissuasion nucléaire?
    - Faut-il même avoir une dissuasion qui repose sur un pari de soit pure dissuasion, soit crime contre les non-belligérants? D'abord vérifier quelle peut être la dissuasion d'une technique qui empêche les explosions nucléaires d'arriver sur terre (les "Star Wars" de Reagan), peut-être?
  • 4.Que faut-il nationaliser ou privatiser?
    - Privatisez tout d'abord le devoir d'aller à l'école: non plus légal, mais paternel, selon une décision du père. Nationalisez à moitié et un peu plus les entreprises très grandes, aptes à affecter grand nombre d'employés chez eux et chez les partenaires.
  • 5.Faut-il, et comment, contenir ou favoriser l'augmentation de la population du pays?
    - Moins immigrés, plus de bébés. Pour le premier on peut fermer les frontières de diverses manières (totales ou partielles), pour le second il est un devoir - pas juste une option - des pouvoirs publics à défavoriser ou interdire l'avortement et la contraception; envers Dieu, envers les embryons éventuellement avortés, envers les générations futures pour qu'elles ne soient pas trop peu nombreuses vis-à-vis les vieux et les étudiants.
  • 6.Faut-il faire financer, au moins en partie, leurs études universitaires aux étudiants?
    - Non, les études doivent rester ouverts à tout le monde qui y a le talent. En revanche les études universitaires doivent être moins universelles comme préalable pour les métiers. Prêtres, médecins, avocats et juges, oui. Ce qui donne assez automatiquement une certaine frange d'intellectuels libres aussi (arfois moyennant la rupture des études). Agronomes, non, sauf pour les techniques qui ne s'utilisent plus commercialement pour les préserver: on peut apprendre d'être fermier à côté de papa à la ferme.
  • 7.Faut-il interdire l'usage et le commerce de substances addictives et mortelles (tabac, alcool, produits sucrés) ou autoriser celles que la loi prohibe (haschisch, cocaïne, etc.)?
    - Surtout pas légaliser le "etc"! Ça comprend LSD et héroïne! Blague à part, ça serait mieux de permettre le haschisch que d'interdire l'alcool, mais ce n'est pas tout faux d'avoir les lignes comme elles sont non plus: l'alcool et le haschisch sont tous les deux capables d'un usage innocueux (légèrement grisé, légèrement défoncé), mais dans le cas d'un usage qui vire au péché mortel, le haschisch est plus dangéreux en ceci que celui qui l'use se livre d'avantage à sa compagnie. Quand à héroïne c'est déjà autrement plus fort, autrement plus difficile de trouver une dose innocente que l'alcool ou le haschisch vers le somnifère, ou LSD que l'alcool ou le haschisch vers la conscience modifiée, et pour le cocaïne vis-à-vis tabac ou sucre ou café par rapport à l'énergie surajoutée, qu'il convient de les maintenir en prohibition. Ce n'est pas pour rien que les Coffee-Shops de Hollande et l'époque quand Christiania n'était pas occupée disaient oui aux drogues "douces" - alcool et haschisch - mais tout aussi fermément non aux drogues "dures" - héroïne, cocaïne, LSD. Soit donc garder la loi telle quelle, soit autoriser juste encore le haschisch, mais pas le reste.


Hans-Georg Lundahl
Beauvais/BU
9-V-2012